• 27+28.02, 01.03.2025 20:30
Chapelle, 50’

Ren­con­tre avec les artistes à l’is­sue de la représen­ta­tion du 28.02

Deux êtres dans un salon. Ont-ils été amoureux ? Ont-ils déjà vécu ensemble, une danse, une nuit, une tranche de vie ? Ils sont là, dans la tentative de se (re)trouver. Des mélodies s’échappent de cassettes enregistrées, d’une radio, d’une platine vinyle. Un tube enfoui dans leur mémoire rejaillit, ses ritournelles emportées parmi les âges se recomposent. Par bribes, dans les failles, se refabrique du vivant…

Un soap-opéra continue de tourner, est-ce que la télé est restée allumée ? Devant le suintement du vide que reste-t-il, de nous, du feu de nos amours ?
Dans la tentative de retrouver une danse partagée il y a longtemps, La fièvre d’un dimanche après-midi sonde l’échec qui habite les relations, les fragilités qui les tiennent et les grandes catastrophes qui les construisent.

Choré­gra­phie :
Flo­ra Gaudin, Nico­la Vacca
Com­po­si­tion et réal­i­sa­tion musicale :
Paul Ram­age
Danse :
Maria Mon­tero, Flo­ra Gaudin, Nico­la Vacca
Regard extérieur :
Vio­lette Angé
Cos­tumes :
Sarah Delat­tre
Scéno­gra­phie :
André-Noël Gaudin
Lumière :
Hugues Girard
Pro­duc­tion exéc­u­tive, administration :
Ary­th­mie — Vir­ginie Pasquier — com­pag­nie meta
Pro­duc­tion :
com­pag­nie meta, Com­pag­nie Caminante
Copro­duc­tion :
Les Brigit­tines, Pôle Création Chorégraphique de la Fon­da­tion Roy­au­mont, Le SPOT, Fuori­mar­gine — cen­tre de pro­duc­tion chorégraphique, Res­i­denzzen­trum Tanz+
Avec le sou­tien de :
Can­ton du Valais, Ernst Göhner, SIS, Danse à tous les étages, Le Regard du Cygne, Point Ephémère, Le MARNI, Le 140, La Coopérative chorégraphiques, La pépinière de chorégraphes – Com­pag­nie Fêtes Galantes, la Sacem et le mécénat de la Fon­da­tion Daniel et Nina Caras­so. Mécèné stratégique de la Fon­da­tion Roy­au­mont, la Fon­da­tion Daniel et Nina Caras­so, sous l’égide de la Fon­da­tion de France, sou­tient ses pro­jets de création artis­tique, l’émergence et l’accompagnement de ses artistes ain­si que le ren­force­ment de la coopération entre sci­ences humaines et pra­tiques artistiques.
Pho­tos :
Charles-Antoine Hurel